Caleb Mortician

♣ MEMBRE

CREDIT. Inconnu

« Caleb Caïn Mortician»

f t . c é l é b r i t é Andrew Cooper
Âge : 17 ans ♣ Sang : Pur ♣ Année : Septième Année ♣ Maison à Poudlard : Serpentard ♣ Baguette : 27 centimètres, bois d'Ebène, avec un crin de Sombral. ♣ Patronus : Un Basilic ♣ Épouvantard : Mon père ♣ Capacité spéciale : Lycan ♣ Métier envisagé : Aucune idée et en même temps c'est le cadet des mes soucis. ♣ Dans le miroir de Rised je vois : Ce que je désire ? Il serait judicieux de ne point le demander, ni de le savoir même.

« le miroir de risèd. »

♣ si tu devais choisir entre la résistance et le camp de Voldemort : Camp de Voldemort sans aucune hésitation.
♣ si tu étais un sortilège, lequel serais-tu : Bloclang.
♣ si tu étais une potion, laquelle serais-tu : Goutte du Mort-vivant.
♣ plutôt courageux ou malin : J'excelle dans les deux je dirais.
♣ plutôt whisky pur feu ou bierreaubeurre : Whisky-pur-feu.
♣ plutôt chocogrenouilles ou dragées surprises : Je n'aime aucunement les « confiseries » ...
♣ tu es anti-potter ou anti-voldemort : Stupide mais amusante question. D'après toi ...

« le sorcier qui est en toi. »

Grand. Immensément grand. En effet, mes un mètre et quatre-vingt treize centimètres me servent beaucoup je dois dire, pour m'imposer aux autres. J'ai hérité des prunelles océan de ma mère et de la chevelure noire de mon paternel. Malgré mon sang écossais qui me prédisposerait à être aussi pâle que la Mort, je peux me targuer d'avoir un teint fichtrement mat. Mes fines lèvres ne s'étirent jamais en un seul sourire ou si vraiment mes interlocuteurs par leur enivrante bêtise parviennent à me faire produire un rictus. Ce qui, je le répète n'est pas chose aisée. J'ai une manie des plus intrigantes, à mes mains se trouvent sempiternellement des gants de cuir noir. Et je serais très fâché si par inadvertance ou par suicide, à choisir, on viendrait à me demander ce qui se trouve en dessous …

Mes relations amicales n'ont jamais été du genre très prolifiques. Je suis du genre solitaire et je tends évidemment à le rester, par pur principe. J'étais soudé à mon frère jumeau Eneas qui n'est plus de ce monde et je n'aimais que lui … La Solitude est celle en qui j'ai le plus confiance et celle qui ne me trahira jamais. Alors autant la préserver pour mon propre salut.

Malgré que je sois un Sorcier, j'ai une Bête qui partage mon corps, une de ces entités qui me dévore de l'intérieur et que je parviens, ou du moins j'essaye de contrôler. Je n'ai pas eu de chance, le Loup a joué avec moi et j'ai perdu. C'est ma pénitence.

Je sais jouer des instruments moldus, du violon pour être plus précis. Un stradivarius que m'a offert mon grand-père lors de mon entrée à Poudlard. J'ai un sale défaut, je déteste que l'on touche à mes affaires, et je serais très vilain si par malheur c'est le cas.

Vraiment très vilain ...

Dernière édition par Caleb Mortician le Sam 5 Mar - 16:59, édité 2 fois

♣ MEMBRE

« la pensine de vos souvenirs précieux. »

Enfance

Je serais né un soir d'orage, un jour où personne n'aurait voulu naître, mais « nous » avions décidé d'émerger à ce moment bien précis, laissant ma mère suffocante après nous avoir donné le jour …
On lui avait prédit un seul héritier, il y en eut deux, deux aux faciès identiques.
Tout ce que je me souviens c'est des parties interminables de jeux entre mon jumeau et moi. A courir à perdre haleine dans le domaine des Mortician. A se blesser sans cesse avec les autres enfants voisins et à faire des bêtises aux plus grands. Non ça serait la bonne version de mon enfance, mais il n'en est rien. Ce n'est pas comme ça que ça s'est passé … Ce dont je me souviens réellement c'est mon géniteur qui un soir d'orage a pris ses valises pour nous quitter à tout jamais. Ma mère, ma si belle mère en a souffert et en souffre encore. Mon géniteur, je le tuerais de mes propres mains quand je l'aurais retrouvé, je m'en suis fait le serment. Eneas, le plus jeune de nous deux en a vraiment souffert, pour ma part j'avais deviné dans mon fort intérieur que mon paternel était un beau saligaud. Mais je n'ai jamais voulu briser les illusions de mon frère, j'ai juste attendu ce moment là …

Ma mère depuis ce jour là a essayé de tenir physiquement et psychologiquement, elle est restée le modèle dans ma plus tendre enfance mais elle a flanché. La douleur étant bien trop forte, elle l'a submergée tout entière. La dévorant de l'intérieur, les médecins de Sainte-Mangouste se sont penchés sur son cas, mais rien n'y fait. Depuis mes 8 ans, avec les domestiques du Manoir et mon frère nous allons lui rendre visite. Elle ne nous reconnaît même plus, mais on sait qu'elle nous attend. Alors bon gré, mal gré avec Eneas nous souhaitons qu'elle se rétablisse. Même si c'est peine perdue.

Pendant 3 ans, nous avons vécus avec mon frère au rythme de nos cours particuliers, de nos escapades toujours plus dangereuses et de nos visites si tristes envers notre mère répondant au doux prénom de Sheane … Jusqu'au jour où une lettre mystérieuse nous parvient.

Je n'ai jamais aimé les lettres rédigées par de purs inconnus.

♣ MEMBRE

Pré-Adolescence

Sorciers ?

Je n'ai jamais entendu ce nom là. Ou à part dans les livres qu'il me plaisait de feuilleter. Dans mon esprit enfantin, encore, je voyais les Sorciers comme des possesseurs de magie ancestrale prêts à tout pour défendre leurs causes et ce par tout les moyens. Avec Eneas nous nous amusions à faire les « grands sorciers », défenseurs de la veuve et de l'orphelin. On imaginait trouver un remède puissant pour soigner notre divine mère … Mais nous n'étions pas encore expérimentés, du moins pas assez. Or Poudlard était une vraie bonne école. Du moins c'est ce qu'en disait nos domestiques … Et je les croyais, du moins à cette époque là.

Ma mère aurait aimé nous voir franchir le Quai 9 ¾, et nous l'aurions aimé tout autant. J'aurais espéré voir sa longue chevelure blonde se faire bercer par le vent, sur ce quai qui allait changer à tout jamais notre perception, mais son état s'étant aggravé, elle nécessitait des soins conséquents.
Alors nous étions là avec toutes nos affaires de futurs sorciers à attendre que ce quai si bizarre se dévoile à notre vue. Évidemment, nous aurions pu encore attendre longtemps devant ce mur à regarder de tout côtés, si d'autres entités étaient dans le même cas que nous.

Mais une charmante demoiselle nous a ouvert la voie.

Nous voilà à présent devant la locomotive fumante du Poudlard Express. Mon frère impressionné, reste planté là, la bouche ouverte. Je ne me gêne aucunement pour lui donner un coup de coude et lui faire bien comprendre qu'il avait l'air d'un bel idiot. Ensemble nous rions et ensemble nous appréhendons.

Je monte à la suite de mon frère, me mordant la lèvre inférieur car la Peur commence à me gagner, je cherche les prunelles identiques aux miennes qui m'ont tant de fois rassuré, et je les trouve enfin. Ainsi que ce sourire qui m'apaise inexorablement. Eneas est à l'aise avec les autres, moi par principe, je me tiens à l'écart. Les autres m'indiffèrent et m'insupportent. Le paysage est ma foi bien plus intéressant.

Poudlard.

Nous voilà entassés dans cet immense réfectoire, où malgré tout, j'ai l'impression d'étouffer. Les élèves se succèdent sous cet immonde « chapeau ». Vient enfin mon tour et celui de mon frère.
Serpentard pour moi et Serdaigle pour lui.

Super. Ironiquement bien sûr.

♣ MEMBRE

Adolescence

Poudlard.

Désormais j'y passe le plus clair de mon temps avec mon frère. Cela c'est le côté assez positif de la chose. Nous ne nous voyons plus trop, ce qui me gâche un peu le moral et à lui aussi. Quand je le vois entouré d'autres de sa classe, je préfère m'éclipser, cela est dans ma nature de vil Serpent. Pour ma part je ne passe pas mon temps dans le château, je le passe en dehors. A vaquer les mains dans les poches, à user de ma baguette sur de pauvres individus ayant croisé mon chemin. En un mot, à faire régner la Terreur sur mon passage. Et là j'excelle dans ce domaine.

Nous rentrons chez nous à chaque vacances, pour voir notre mère, et nous occuper des affaires du Manoir, Manoir frisant par moments le Chaos absolu. Eneas est parfait dans le rôle du jumeau posé et moi dans celui du turbulent. Mais nous nous complétons. Jusqu'à de cela quelques mois …
Avant ma rentrée en septième année, il s'est passé quelque chose que j'essaye d'enterrer au plus profond de mon être, comme si cela n'avait jamais existé.

Un soir de pleine Lune comme à ma triste habitude, je sors du Manoir à l'instar d'Eneas, qui lui reste par peur d'attraper ne serait-ce qu'un rhume. Pitoyable et je pars seul à la quête d'aventures. Malheureusement c'est Elle qui m'a trouvé.

Je sens une présence derrière moi, une de celles qui observe longuement sans pour autant attaquer. Je me retourne, mais je n'entends ni ne voit rien. Mes sens aiguisés de sorcier me font défaut, cette nuit là ce me semble, à mon grand désarroi. L'Ombre fond sur moi à une vitesse fulgurante.

Elle m'écrase de tout son poids, c'est presque comme si j'entendais mes os craquer et mon souffle se couper; J'essaye de repousser cette énorme chose, mais mes mains se perdent dans des poils. Des poils ? Je réouvre mes yeux océan que j'avais fermé sous l'impact pour me retrouver face à face avec une gueule béante dégoulinante de bave … J'aurais voulu crier, mais le son s'est tu dans ma bouche. Et mon regard rempli d'effroi sembla amuser la Bête. Je me débattais sans succès, écrasé totalement par cette chose dont j'ignore le nom. Mon frère m'avait pourtant mis en garde lors du repas, qu'une bête étrange rôdait dans les parages … Mais de coutume, je ne l'avais pas écouté. Et je suis puni.

La Bête féroce s'approche non sans peine de mon visage que je protège de mon bras droit. Bras droit qui se verra infliger une morsure sans pareille. Mon bras ne doit plus être de ce monde avec une chose pareille. Et si, je sens la douleur au plus profond de mon être, mon bras se retrouvant avec une plaie béante laissée par la morsure du Loup. Après son forfait, le Loup s'est enfui.
Je reste terré là, frissonnant, fiévreux, dans tout les états possibles et inimaginables. Puis, l'instinct prend le dessus et je me dirige vers le Manoir.

Mes pas se font plus fluides, et ma perception s'en trouve changée. Pourquoi ? Je n'en ai aucune idée, tout ce que je sais c'est que je dois rejoindre le Manoir. J'y arrive enfin.

Cette nuit-là, je ne me souviens que de la tête apeurée de mon frère et de celle des domestiques. Pas plus …

Et pour l'instant j'essaye de survivre à Poudlard.

« le moldu qui se cache. »

ton prénom ou/et pseudo : MWAHAHA. Comme si j'allais le dévoiler. Z'êtes fous … Rolling Eyes