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« Weasley Roxane Hécate »

f t . Taylor Momsen

Âge : 16 ans. ♣ Sang : Pur ♣ Année : 6ème ♣ Maison à Poudlard : Serpentard ♣ Baguette : Bois de pommier et tige de chèvrefeuille, 35cm. ♣ Patronus : Une chouette blanche ♣ Épouvantard : Les araignées . ♣ Capacité spéciale : voir listing des dons de Astoria, dans les demandes. ♣ Métier envisagé : Devenir une grande sorcière. ♣ Dans le miroir de Rised je vois : ...

« le miroir de risèd. »

♣ si tu devais choisir entre la résistance et le camp de Voldemort : La résistance.
♣ si tu étais un sortilège, lequel serais-tu : écrire ici.
♣ si tu étais une potion, laquelle serais-tu : écrire ici.
♣ plutôt courageux ou malin : Malin.
♣ plutôt whisky pur feu ou bierreaubeurre : bierreaubeurre.
♣ plutôt chocogrenouilles ou dragées surprises : chocogrenouilles .
♣ tu es anti-potter ou anti-voldemort : Anti-Voldemort.

« le sorcier qui est en toi. »

Plusieurs mots peuvent qualifier Roxanne. Indépendance, émancipation, anticonformisme, par exemple. Roxanne est différente du reste de sa famille, et elle se bat pour se libérer de l’image traditionnelle des Weasley gentils mais un peu cons qui se battent tous pour l’Ordre du Phénix. Elle est pro-mangemort et si elle ne l’affirme pas officiellement, elle n’a de cesse de marquer sa différence avec le reste de sa famille, avec plus ou moins d’extrémisme. Déjà elle se teint les cheveux pour ne plus être rousse, passant du blond au noir quand ça lui chante, bien que sa tignasse de feu soit absolument magnifique et fasse baver d’envie certaines demoiselles. Insolente et extravertie, elle tranche avec l’image standard, et sa fraîcheur de caractère en captivent plus d’un. Dépourvue d’égo ou de fierté mal placée, elle a en revanche une véritable langue de vipère, manie le sarcasme et l’humour noir comme personne. Ironique, cynique, sarcastique, il vaut mieux éviter de s’en prendre à elle, car elle peut se montrer aussi dévastatrice qu’un tsunami.
Non dépourvue d’ambition, elle sait ce qu’elle veut faire plus tard et mettra tous les moyens à sa disposition pour y parvenir. Froide, méprisante, son anticonformisme affiché peut la faire passer pour une gentille fille, mais ne vous laissez pas prendre au piège, ou elle n’hésitera pas à vous utiliser comme un vulgaire pantin. Elle sait où se trouve son intérêt, et saura se plier aux règles si cela peut servir sa propre cause, bien que cela ne lui plaise pas. Elle ne se fait pour le moment pas trop remarquer par le ministère ou par la directrice, n’a pas de cicatrice s’étendant sur la main, et espère ne jamais en avoir pour ne pas ruiner ses projets. Elle aime le pouvoir, elle aime la puissance, et s’est engagée chez les Basilics pour marquer sa séparation nette avec sa famille. D’ailleurs, après sa septième année, elle déménage de chez ses parents et va s’installer ailleurs. Amie de plusieurs fils de mangemorts, ou encore de quelques mangemorts, elle compte bien en devenir une plus tard. Dans sa maison, elle a réussi à devenir quelque peu influente de par ses contacts et ses liens avec les gens importants, et on la voit comme la Weasley différente de sa famille, ce qui lui plaît beaucoup. Quant à ceux qui lui cherchent des poux parce qu’elle est une Weasley … Tant pis.
Roxanne est surtout très atypique. Pourvue d’un bon vocabulaire, elle peut devenir très vulgaire – elle l’est déjà assez comme ça – et inonder les gens de gros mots très inventifs. Egalement assez violente, elle a le poing facile avec ceux qui cherchent des ennuis, et ne règle pas trop les conflits par la violence. Un coup de poing dans le museau et c’est terminé. Sous ses apparences très féminines, elle est un garçon manqué tout craché, tient très bien l’alcool et fume de temps en temps, aime bien les paris débiles, aussi. Assez misanthrope, elle ne croit pas du tout en l’amour et aux beaux sentiments pétris de bonnes intentions. Elle a eu beaucoup de conquêtes, mais elle fait ça juste pour le fun, pas pour rechercher le grand amour, comme ils disent dans les livres. Juste pour le fun, juste pour la nuit, si c’est un bon coup on garde, et puis c’est tout. Elle n’a jamais eu de petit ami fixe et a une jolie réputation de coucheuse séductrice. Ce que les gens ne savent pas, c’est qu’elle est aussi une dealeuse, et vend de la drogue ou des médicaments à ceux qui en demandent, à partir du moment où on la paye. Après elle se fiche bien de ce que les gens en font, elle n’est pas curieuse et a développé un bon petit business. Un peu hypocondriaque sur les bords, elle se balade toujours avec une pharmacie sur elle pour ne pas devoir aller à l’infirmerie tous les deux jours.

« la pensine de vos souvenirs précieux. »

« ¡ Hola, señorita de la Vega !
Quel espagnol douteux. Enfin bref, tu ne viens pas aux nouvelles, les nouvelles viennent à toi. Tu sais que je trouve le château super calme depuis que tu es partie ? Sérieusement, c’est morne et plat. Bon ok, il y a eu cette pseudo-fête organisée par ma cousine, et la manifestation qui a mal tourné, dans laquelle j’ai d’ailleurs traîné mes guêtres pour voir de quoi il en retournait, juste par curiosité. Mais mini-Weasley s’ennuie franchement de toi là, ça devient la misère, une vraie prison, il ne manque plus que les barreaux. J’aimais bien moi quand tu étais là, il y avait de l’animation, là c’est morne, c’est plat, c’est cimetière ! Ce qui est rigolo, c’est que comme tu t’affichais comme ma protectrice, les gens ont commencé à me rentrer dans le lard quand tu as quitté l’école, du coup j’ai du leur casser la gueule pour qu’ils réapprennent à me respecter. Franchement ces gens, mais quels cas sociaux. En parlant de cas sociaux … Tu as des nouvelles de Reid ? Non, je ne dis pas que c’est un cas social hein, juste que les débiles mentaux qui l’ont coffré sont des crétins. Et tu sais ce que c’est le pire ? Je suis prête à parier que dans le tas d’Aurors, il y avait mes génialissimes tontons Potter et Weasley. Joie. M’enfin. Je les entends parler à table, ils disent que la situation dans le monde est préoccupante et ils ont peur que le ministère ne relâche les prisonniers. M’est avis que ça ne saurait tarder … Enfin bref, pour repartir sur un sujet un peu plus entraînant … Tu te rappelles de mon arrivée à Poudlard ? Le hurlement que j’ai poussé pendant la cérémonie, je pense que personne n’est prêt de l’oublier. »

« Weasley, Roxanne, Hécate ! »
La blonde écarquilla les yeux. Puis s’avança. Elle avait flippé pendant tout le voyage en train, pas du tout rassurée par ses cousins qui lui disaient qu’un esprit aussi fort que le sien atterrirait à Gryffondor. Certes, mais si elle ne voulait pas aller à Gryffondor ? Là, c’était tension extrême. De la table de Gryffondor, elle sentait les regards pleins d’espoirs de James et Albus. De la table des Serdaigle, Molly la regardait avec un sourire. A Poufsouffle, son cousin Louis la fixait d’un air rêveur. A Serpentard, on murmurait qu’une nouvelle Gryffondor arrivait. Ah mais non hein ! Et à la table des profs, elle tombait sous les regards croisés de Ted, Victoire et Neville. S’asseyant sur le tabouret, elle attrapa le chapeau et se l’enfonça sur la tête. Pas Gryffondor. Pitié.
« Serpentard ! »
Sérieux ?! Nan mais, sérieux ?! Se levant, hagarde, elle occulta les regards surpris et déçus de sa famille, et les regards interrogateurs des Serpentard. Elle descendit de l’estrade, et brusquement, leva les bras en signe de victoire.
« YOUHOUUUUUU \o/ »
Se vautrant sans la moindre classe à la table des serpents qui l’acclamaient en sifflant et en applaudissant, elle esquissa un grand sourire réjoui et tira sur son col pour le regarder se teindre en vert, ainsi que ses manches.
« Regardez, mais regardez, ça devient tout vert ! Tout vert et pas tout rouge ! Mais c’est trop magnifique, c’est onze ans de pressions qui retombent ! »
Les rires des Serpentard lui passèrent au-dessus de la tête, de même que ceux qui disaient avec enthousiasme qu’elle irait loin et que c’était juste énorme de croiser une Weasley qui revenait enfin sur le droit chemin. Bienvenue à Serpentard, Roxanne.

« Pfff. Et deux heures après. Mes parents me gonflent, sérieux. Tu sais, je crois que je vais t’écrire un roman parce que j’ai dit à ma mère que je ne descendrais qu’après avoir fini d’écrire ma lettre, pas envie de me coltiner toute la sainte famille Weasley. Surtout mon frère. Mais qu’il me gonfle ce petit con ! Un jour il va passer par une fenêtre. Avec toutes les merdes qu’il créée pour reprendre la boutique familiale, il aura peut-être trouvé un truc pour se faire pousser des ailes au cul ? Au secours, je vis dans une famille de fous. Je peux me cacher chez toi ? Quelle ambition limitée aussi. Madame ne bosse pas, monsieur tient une boutique de farces et attrapes, et mon frère veut la récupérer ! Et moi dans tout ça ? C’est d’un lourd des fois, de passer deux mois par an chez ces tordus du bulbe. En plus leur pote Londubat parlait de ses plantes chéries d’amour, et quand je suis entrée, il désespérait que je n’aie pas continué la botanique. Attends, tu sais que ses plantes à la con ont failli me bouffer quand même ? Sa tentacula vénéneuse à deux dollars, je l’aurais bien faite cramer si ça ne m’attirait pas un troll immédiat en botanique. Franchement, acceptable, je ne pouvais pas faire mieux. Et mon très cher et très estimé tonton Potter désespère parce que j’ai eu optimal en déviances magiques. Pardon, mais déviances c’est déjà plus utile que botanique, sauf si on veut se faire un thé avec les racines de mandragore. Puis il me gonfle ce prof avec son histoire de sauver des vies avec telle ou telle plante. Sauver des vies, sauver des vies … Il a tellement les boules de ne pas avoir pu sauver ses parents de la décadence qu’il va nous gonfler à bloc pour qu’on devienne médicomages ou quoi ? Puis ma mère trouve que je lui parle de plus en plus mal … C’est très rigolo au final, tu aurais apprécié le spectacle. »

« Roxanne ! »
Silence.
« Roxanne ! »
Toujours pas de réponses.
« ROXANNE HECATE WEASLEY ! »
Bruit de quelqu’un qui monte les escaliers en faisant du bruit. Angelina Weasley. Bruit de quelqu’un qui ouvre une porte avec fracas. Roxanne Weasley.
« MAIS QUOI ?! »
« Tu pourrais répondre quand on t’appelle ! »
« Mais j’écoute de la musique, je n’entends pas ! »
« Bah baisse le son, qu’on ne soit pas obligés de gueuler ! »
« Mais vous me gonflez à la fin, merde ! »
Porte qui claque. Angelina, devant la porte qui venait de se claquer devant elle, cligna des yeux de surprise, et serra les poings en entendant le verrou tourner insolemment dans la serrure. Colère imminente dans trois, deux, un …
« ROXANNE ! »
« MAIS VA CHIER PUTAIN ! »
Une nouvelle personne monta l’escalier d’un pas plus léger. Georges Weasley. Il attrapa la main de sa femme et la serra doucement, fataliste.
« Laisse tomber, Angie. »
« Non ! Je refuse que ma fille me parle sur ce ton ! »
« Tu vois, t’aurais mieux fait de me laisser aller chez Aleera, t’aurais eu moins d’emmerdes ! »
« ROXANNE ! »
« Angie, laisse tomber je te dis. »

« AAAAAAH PAR PITIE SELENA FAIS QUELQUE CHOSE. Va-y, tu viens, tu les tues, et moi je ferme les yeux, aucun témoin pour dire que tu es venue les saigner ! Ou alors tu leur balance un sort, histoire qu’ils oublient qu’ils ont une fille ! Puis après tu lances un sort aux administrés et tu m’adoptes ! Hein, tu veux bien dit ? Tu sais qu’elle commence à me gonfler, la génitrice, à hurler comme une sauvage derrière la porte ? Et Roxanne fais ci, et Roxanne fais ça, et Roxanne arrête d’être impolie … Et maman tais-toi, je peux ? En plus tu sais que je devais passer les vacances d’été chez Aleera ? Mauvaise fréquentation, ils ont dit, hop au trou, les vacances chez Lee ! Alors j’ai demandé si je pouvais aller chez Nolan, c’est mon cousin, en théorie il ne devrait rien se passer – attends, ça va, on se protège, on est grands hein – et ils ont refusé. Tu sais que ça commence à me gonfler de porter ce nom de famille ? Weasley. Pfff. Dis, si jamais je fugue, tu m’héberges ? Attention à ta réponse, mes valises sont prêtes, elles sont cachées sous mon lit. Pff, mais comment je fais pour survivre dans cette famille de dingues, ils sont tous frappés, on les a bercés trop près du mur ou quoi ? Et ma mère qui est encore en train de gueuler que c’est honteux – je ne sais même plus de quoi elle parle en fait – et que j’aurais du faire des efforts. Ah oui j’ai fait la gueule à table. Attends ils m’avaient coincés entre Harry et James quoi, genre allez ma fille, laisse-toi envahir par la paix la plénitude la gentillesse et la connerie qui règne dans cette famille ! Tu sais qu’il y en a qui aimeraient ma famille ? L’autre conne là. Ah flûte, machin Swann. Mélanie, la demi-frangine d’Eden. Je ne l’aime pas celle-là, une tête à claque sérieux. Mélanie, hein, pas Eden, Eden c’est ma petite protégée, elle est trop marrante. Enfin bref, cette tache a dit qu’elle échangerait bien sa famille avec la mienne … Elle est folle. Oh ma mère a arrêté de gueuler, cool. Tiens, elle t’a raconté comment on s’est connues, Eden ? Je l’ai défendue dans la salle commune quand elle se faisait chahuter. Oui je sais je suis trop gentille des fois. »

« Mais ta gueule Swann, t’es chiante ! »
« Je fais ce que je veux, et si t’es pas content bouge de là ! »
Dans la salle commune des Serpentard, une petite blonde se faisait chahuter par un de ses camarades à cause de son de la radio beaucoup trop fort. Sauf qu’au lieu de lui demander gentiment, ce con s’était senti obligé d’imposer sa domination masculine à trois dollars truqués, et s’était reçu le sarcasme d’Eden Swann en pleine tête. Ca durait depuis dix minutes, et les paris commençaient à s’ouvrir pour savoir dans combien de temps le mec abandonnerait, ou si la petite poupée allait prendre une branlée. Et Roxanne avait parié dix gallions sur Eden. Quinze. Allez, rajoutons cinq gallions.
« La pureté de ton sang t’as liquéfié le cerveau que tu ne réponds plus ? »
« Moi au moins je ne suis pas le bâtard d’une pute ! »
Fin des paris. Silence profond. L’attention était focalisée sur Eden, qui venait de serrer les poings. Rapidement, ceux qui pariaient que le mec allait lui coller une branlée se désistèrent, et les paris prirent fin faute de combattants. Et brusquement, Eden sauta sur le type, les faisant chuter au sol dans un grand fracas de verre brisé, avec les hurlements et tout.
« Quarante gallions sur Swann. »
La remarque laconique de Roxanne réveilla les parieurs, et tout recommença. Surtout, un mec venait de se lever et se dirigeait vers eux. Préfet ? Non pas. Il attrapa la jeune blonde, la souleva d’une main, et la secoua comme un prunier pendant que l’autre se levait pour lui mettre un coup de poing. Deux contre un, traîtres ! Se levant et attrapant un plat en argent, Roxanne prit appui sur une table et donna un grand coup de plat dans la tête de celui qui tenait Eden, qui chancela, lâcha la blonde qui sauta immédiatement sur le deuxième type, et se tourna vers elle.
« T’as un problème, Weasley ? »
« La médiocrité exsudant de chacun de tes pores me donne envie de gerber. C’est toi mon problème, gueule de truie. »
Avec un grognement dépourvu d’intelligence, le type lui balança un grand coup de poing. Et ne rencontra que le vide. Roxanne avait tout simplement esquivé, et elle poussa très simplement le bras du type, non sans omettre de balancer son genou dans les extrémités viriles du bonhomme. Qui s’écroula, brusquement privé d’air. Le premier larron fut rapidement mis au tapis par Eden, qui se releva en les toisant avec mépris.
« Toi, je t’aime bien. »
« Eh bah … Merci. »
« Je m’appelle Roxanne. Note bien mon nom, si un jour t’as un souci, tu sais où me trouver. »

« Après avoir couru pendant dix minutes après mon débile de frère, je peux t’avouer sans amertume que dès ma majorité, je me casse de cette maison de fous. Allez, j’aurais 17 ans en mars prochain, puis je ne refous plus jamais les pattes chez ces cons. Bon, en fait ce demeuré a cru bon de me piquer mon courrier pour voir ce que j’écrivais quand je suis descendue parce que mon père m’appelait. Et quand je suis remontée après avoir expliqué à mon père la provenance des boîtes de thons qui dormaient au fond du frigo – pour une fois que ce n’est pas moi on m’accuse, mon con de frère a caché ses farces et attrapes dedans, mais quel demeuré – voilà-t-y pas que je trouve Fred, innocent comme la neige éternelle, dans ma chambre, avec des feuilles dans les mains ! Je lui ai fait sa fête, il a dégusté, tu peux me croire. Je crois que la marque de ma main restera longtemps imprimée sur sa joue, et que ses oreilles siffleront encore pour la rentrée scolaire de Septembre. Pff j’y crois pas, ce gros lourd lisait mon courrier ! Je vais lire le sien moi ?! Bon, ce qu’il doit raconter doit être digne des primitifs de Gryffondor tel que lui – ok Nolan est LE Gryffondor qui fait mentir la généralité, mais lui c’est un beau gosse alors c’est différent, je me demande juste comment il peut être accro à une Serdaigle aussi prude et effarouchée que Moïra, mais bon ! – enfin bref, sauf si je veux brusquement régresser, je ne mettrais pas mon nez dans le courrier de ce nain qui fait quasi ma taille mais qui reste quand même un sale merdeux. Puis je n’ai plus rien à te raconter. Ca te dit que je te raconte des conneries jusqu’à ce qu’ils s’en aillent ? 23h, bientôt l’heure du dodo chez les Weasley. Alors, trouvons un truc. Alors, quand je quitterais Poudlard, je m’achèterai un rat. Peut-être un chat aussi. Mais surtout un chien, enfin ça c’est quand j’aurais une maison. Un rottweiler, je trouve ces chiens magnifiques. Euh, je vais désintégrer mon frère. Hm, je me suis engueulée avec ma mère, comme d’habitude, parce que j’ai de mauvaises fréquentations. Mouais. Tu sais que mes parents ne savent même pas ce que je veux faire plus tard ? Mon très cher oncle Harry espère que je veux devenir Auror. Mais bien sûr. En fait ils pensent à des tas de trucs, mais t’en as pas un seul qui a capté que j’avais pris toutes les options pour devenir langue de plomb. Ils sont désespérants sans blague, même toi qui n’es pas ma mère tu as compris ce que je voulais faire rien qu’en regardant mes notes de Buses quand je te les ai envoyées par hibou. Ah ça y est, Roxanne au lit, il est l’heure ! Bon, je mets un point final à ma superbe lettre où je raconte beaucoup de conneries, j’espère que ça t’aura fait sourire au moins, parce que même si je parle beaucoup de moi, je pense beaucoup à toi, parce que tu me manques et je sais que tu souffres de l’absence de Reid. Bon je met vite un point final avant que ma mère ne vienne faire le flic parce que oh mon dieu Roxanne tu as dépassé l’horaire de deux minutes c’est tellement horrible ! Pff.
¡ Besitos mi guapa !
Roxanne. »

« le moldu qui se cache. »

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